Je sors avec mon patron. Je l’aime beaucoup. C’est une relation non conventionnelle ; j’ai une liaison avec mon patron âgé. Il a 69 ans et j’en ai 20. Il y a quelques années, j’ai rejoint une entreprise de technologie financière. Pour un jeune diplômé en arts, j’avais du mal à trouver un emploi dans mon domaine. Un ami m’a recommandé de faire un stage dans cette entreprise. Je suis entré et j’ai rencontré Francis, l’associé directeur de l’entreprise et mon futur patron.
Francis était un vieil homme avec une personnalité dure. Il me rappelait mon grand-père. Doux de cœur et dur à regarder. Il avait un grand sourire sur le visage quand il m’a vu passer la porte pour l’entretien. Il m’a dit, “Bonjour chérie, tu es magnifique. As-tu perdu ton chemin ? Ce à quoi j’ai répondu que j’étais là pour un entretien. Il ne m’a posé aucune question et m’a pourtant engagée. Il m’appelait souvent dans son bureau pour prendre des notes. Il me demandait catégoriquement de m’asseoir sur son bureau lorsque je portais des jupes courtes alors qu’il s’asseyait juste à côté de moi sur la chaise, touchant mes cuisses tout en racontant les lettres. J’aimais ça. Je m’excitais à chaque passage de doigt.
Un jour, alors que Francis était plongé dans ses pensées, ses mains se sont posées sur ma cuisse. J’ai pris sa main et j’ai commencé à la frotter. Il m’a regardé avec surprise et a souri. J’ai continué à tenir sa main et à la frotter sur mes cuisses, maintenant sous ma jupe. Il s’est aventuré et m’a touché entre les jambes. Je gémis. Mettant le bloc-notes de côté, je me suis installée confortablement sur le bureau. J’ai écarté les jambes pour l’accueillir et pour faire l’amour avec mon patron âgé. Il s’est dirigé vers la porte pour la verrouiller de l’intérieur. Puis, il a commencé à perdre sa cravate et sa ceinture. Il m’a ordonné d’enlever ma chemise et de presser mes seins.
C’est mon patron, alors j’ai suivi ses ordres. Il a dézippé son pantalon et l’a enlevé, tenant sa longue queue dure. J’étais surprise de voir ce trésor dans ses mains, surtout à cet âge. Ensuite, il m’a ordonné de relever ma jupe et de me toucher. Il est resté là, à me regarder, à se branler, à devenir plus dur. Il a pris une grande inspiration et m’a branché. Il a mis ses mains sur mes seins pour contrôler mon corps et suivre son rythme. Il a attrapé mes seins plus fermement et a tiré mon corps vers lui. Ça faisait un peu mal, mais j’étais mouillée comme un poisson. Il a penché son cou pour sucer mes seins, un par un.
Puis, il les a pris tous les deux dans ses paumes et a ouvert grand la bouche, pour les prendre tous les deux. J’ai adoré, alors j’ai levé mes jambes sur son épaule, pour montrer mon appréciation. Il était comme un roc, remplissant ma chatte. Il a souri et m’a tenu par la taille, me regardant dans les yeux. Il m’a baisé à fond sans sourciller. Il était de plus en plus rapide et je savais qu’il était sur le point de me remplir, alors je l’ai sorti.
Je me suis mise à genoux et j’ai commencé à le sucer, rigoureusement. J’ai même chatouillé ses couilles jusqu’à ce qu’il remplisse ma bouche et que je prenne une gorgée de son jus sucré. J’ai essuyé ma bouche et léché mes doigts en me relevant. Quand je me suis levée, son visage était rouge comme une tomate, il était embarrassé. Alors, j’ai embrassé sa joue et j’ai chuchoté, “A la prochaine fois, patron”. Cette histoire s’est déroulée il y a deux ans, et je ne peux pas être plus heureuse de reconnaître que j’ai une liaison avec mon patron âgé. Aujourd’hui, je travaille moi aussi dans l’équipe de direction de l’entreprise.