“Tu as perdu la tête ?” Mathieu a demandé, en essayant de ne pas perdre son calme ou de crier trop fort.
“Non. Je veux la rencontrer.”
Mathieu fixa Corinne, incrédule. Sa maîtresse avait perdu la tête. Quelle femme saine d’esprit voudrait rencontrer l’épouse de l’amant qu’elle baise depuis dix-huit mois ?
Il regarde la jeune femme presque nue qui est allongée sur le lit. Elle était toujours la plus adorable, la plus succulente, la plus baisable des petites salopes qu’il avait vues depuis – eh bien, JAMAIS. Quand elle était entrée dans son cours de théâtre deux ans auparavant, il avait eu du mal à ne pas la quitter des yeux. Elle était douce, charmante, talentueuse, avec le moindre soupçon de voix. Les garçons haletaient après elle, ce qui n’est pas étonnant.
TOUT chez Corinne criait “Poupée Sexuelle”. Elle avait des cheveux blonds mèches, un peu à cause du soleil, un peu à cause d’une bouteille, mais ça lui allait bien. Des yeux bruns sexy, dignes d’une chambre à coucher. Des seins ronds et parfaits qui étaient toujours mis en valeur, que ce soit dans un pull serré, un dos nu ou un chemisier décolleté. Elle portait toujours des talons, pas des chaussures à roulettes comme tant d’autres enfants. Elle ne portait pas non plus de jeans de nos jours, toujours des jupes courtes ou des pantalons blancs moulants. C’était en partie grâce à lui. Un jour, Mathieu lui avait dit à quel point elle était jolie dans sa tenue, et depuis ce jour, les jeans ont disparu. Si la jolie jeune fille a jamais porté une culotte, il ne pouvait pas voir une ligne de culotte. Elle n’était pas grande, mais elle était extrêmement câline.
Malgré tout, elle était intelligente, s’exprimait bien et avait l’esprit vif. Elle était audacieuse sur scène, acceptant les défis. En peu de temps, Corinne est devenue l’élève préférée de Mathieu. Il a également développé un petit béguin pour la jolie jeune fille de 18 ans. Il s’est vite rendu compte que ce béguin était réciproque.
Intérieurement, Mathieu laissa échapper un long soupir. Il n’aurait pas dû, mais son mariage avec Lucie avait pris un coup de vieux à ce moment-là. Il aimait sa femme, Lucie était tout ce que Mathieu avait toujours voulu chez une épouse. Intelligente. Sensuelle. Classe et intelligente, dévouée, bonne dans son travail.
Ce qui était précisément le problème. Lucie et lui étaient ensemble depuis plus de dix ans, il n’y avait plus de surprises. Le sexe était bon, mais il était prévisible. Il s’est mis à fantasmer sur Corinne, se demandant comment cette jeune étudiante sexy de 18 ans pourrait être dans la chambre.
Elle avait obtenu son diplôme dix-neuf mois avant le début de leur liaison. La jeune salope blonde est revenue lui rendre visite, juste après son 20ème anniversaire. Elle ne cachait plus son attirance pour son professeur plus âgé, Corinne flirtait outrageusement. Mathieu, flatté par ses attentions, flirtait en retour. Ils sont sortis prendre un café. La fois suivante, ils ont dîné ensemble. Quand Mathieu suggéra un service de chambre dans un hôtel chic, en plaisantant à moitié, Corinne accepta son offre.
Il n’avait jamais envisagé de faire cocu son épouse. Jamais. Mais à partir du moment où Mathieu a pris l’étudiante passionnée dans ses bras, à la seconde où ses lèvres ont fusionné avec les lèvres douces et pleines de Corinne, il était perdu. Elle arrachait les vêtements de son corps, les boutons sautant partout, les ongles rouges ratissant sa chair chaude.
Oh, le sexe. Lucie était toute sensuelle, séduisante, douce. La jeune salope blonde était sauvage, vivace, insatiable. Corinne a sucé des bites comme si c’était la meilleure chose au monde. Elle chevauchait sa bite avec sa chatte serrée, ces seins sur lesquels il avait fantasmé pendant des mois se balançaient, il a sucé les tétons rose fraise, les voyant se transformer en petits piquants durs.
“Oh Mathieu, c’est encore mieux que ce que je pensais. Baise-moi, prof, Baise-moi, Baise-moi à fond !”
Mathieu s’est exécuté. Elle l’a chevauché, en se tortillant, en roulant des hanches, en se penchant en arrière et en avant et en prenant tout de lui. Ses cheveux s’agitaient, ses petits gémissements l’excitaient plus qu’il ne l’avait été depuis des années. Il embrassa le petit papillon tatoué au-dessus de sa chatte, remarqua son nom en petites lettres en dessous. Il a regardé dans ses doux yeux bruns.
“J’ai le béguin pour toi depuis des mois” lui a-t-elle dit. C’était tout à fait vrai, avec ses cheveux poivre et sel, ses yeux gris acier, sa voix forte et sa personnalité imposante, Corinne ne se souciait même pas qu’il ait 25 ans de plus qu’elle. Il l’excitait tout simplement.
L’embrassant à nouveau, Corinne s’est retournée. Mathieu l’a baisée en levrette, sa bite encore dure s’enfonçant en elle comme s’il n’y avait pas de lendemain. Pendant des heures, ils ont couplé, aucun des deux ne voulait que ça s’arrête. Ils ont commandé un service d’étage, mangé des hamburgers et se sont promis de recommencer.
“Encore” est devenu un truc deux fois par semaine, puis trois fois, et enfin, presque tous les jours. Lucie travaillait toujours tard à son studio de photographie, le laissant seul la plupart du temps. Mathieu s’assurait d’être toujours à la maison à temps pour l’accueillir. Dans la journée, Mathieu vivait pour les lèvres suceuses de Corinne, les petits halètements de plaisir qu’elle émettait quand il la baisait par derrière, se nettoyant mutuellement sous la douche après. Mathieu savait aussi très bien que ça ne pouvait pas durer. C’était l’un de ces arrangements “trop beau pour être vrai”.
Mathieu essayait de se sentir coupable, mais il n’y arrivait pas. Lucie restait aimante, mais une partie d’elle semblait avoir disparu. Cela le dérangeait, comme si elle s’éloignait. Il se tourna davantage vers Corinne, qui était plus qu’heureuse de lui donner les passions vibrantes dont il avait vraiment besoin.
Mathieu savait qu’il n’était pas juste envers Corinne, mais elle le repoussait. “Je sais dans quoi je m’engage, amant !” elle ronronnait et commençait à descendre sur lui. Sa bite se raidissait, en quelques minutes il oubliait tout et se perdait dans ses étreintes lascives.
Finalement, Mathieu est rentré chez Lucie. Il lui a tout raconté, calmement et honnêtement. Puis il a eu une révélation qui l’a choqué au plus haut point.
Lucie avait elle-même eu une liaison.
Ça ne lui ressemblait pas du tout. Penser à sa Lucie avec un autre homme le faisait trembler de rage. C’est à ce moment que Mathieu réalisa que malgré tout, il était toujours profondément amoureux de Lucie.
Mathieu voulait savoir qui était l’autre homme, il était prêt à tuer ce salaud, mais Lucie a calmement refusé de lui dire quoi que ce soit. Elle étreint son mari en larmes. Mathieu a suggéré de consulter un conseiller conjugal, ce que Lucie a accepté.
Après cela, les choses ont commencé à s’améliorer. Lucie a commencé à réduire ses heures de travail, Mathieu a essayé de rompre avec Corinne. “J’aime ma femme tendrement Corinne, ce n’est pas bien !” implorait-il à la jolie blonde.
Il a eu beau essayer, Corinne était dans son sang. Il a réduit leur aventure, mais il ne pouvait pas l’abandonner, pas complètement. Un jour, elle a accepté de le laisser partir s’ils pouvaient passer un dernier jour de passion ensemble. Il a accepté et ça a été magique, jusqu’à ce qu’elle lui lâche cette bombe.
“Ok, pourquoi diable veux-tu la rencontrer ?”
“Je ne sais pas. Par curiosité ? Je veux voir la femme pour laquelle je te perds. Remords, je devrais certainement lui présenter une sorte d’excuse. Peu importe, je pense que je lui dois – et que je me dois à moi-même – de la rencontrer et d’essayer d’arranger les choses, de faire amende honorable en quelque sorte. ”
Mathieu soupira, il savait qu’il ne fallait pas discuter avec la jolie étudiante quand elle avait pris sa décision. “Ok, je vais organiser ça. Quand ?”
“Après-demain, ça me laissera le temps de me préparer. En attendant, qui a dit que cet après-midi était terminé ?”
Corinne a déplacé sa tête blonde vers la bite grandissante de Mathieu.
Corinne, malgré l’assurance qu’elle avait affichée devant Mathieu, était nerveuse et terriblement contrariée. Elle s’était promis de ne pas tomber amoureuse de lui, c’était juste une aventure, mais elle avait échoué lamentablement dans cette tentative. Mathieu était tout ce qu’elle avait toujours voulu. Elle était terrifiée à l’idée de rencontrer Lucie, elle n’avait pas la moindre idée de ce qu’elle pourrait lui dire. Pourtant, Corinne s’est endurcie et a sonné à la porte. Elle ajusta le pull rose et la courte jupe blanche qu’elle portait et sourit à Mathieu qui ouvrit la porte.
Il avait cet air sinistre sur le visage, alors Corinne l’a impulsivement embrassé sur le nez. “Souris, chérie, ça ne va pas être si terrible. Elle et moi allons probablement parler et tout sera fini.” Un petit regard de tristesse traversa ses jolis traits.
Mathieu se sentait mal. Il avait blessé cette douce créature, qu’il adorait. Son mariage était extrêmement important pour lui, mais son adorable Corinne l’était tout autant. Pourquoi tout cela était-il si embarrassant, pourquoi les choses n’auraient-elles pas pu être différentes ? Chaque détail de cette situation le rendait fou.
Quand la femme de Mathieu descendit l’escalier, Corinne laissa échapper un souffle audible. Elle a vu la femme la plus éblouissante qu’elle ait jamais vue dans sa vie.
Les cheveux auburn de Lucie étaient relevés, son maquillage était fait avec goût. Elle était vêtue d’un fourreau de satin noir qui l’enveloppait comme une seconde peau. Des boucles d’oreilles en diamant pendaient de ses lobes. Son visage était beau, exquis, comme une peinture. Sa peau était bronzée, mais ses yeux avaient un léger air asiatique. Mathieu avait dit une fois à Corinne que sa femme était mi-noire, mi-filipine, c’était une combinaison remarquable. La jeune salope blonde était presque à bout de souffle lorsque Lucie s’est approchée d’elle et lui a tendu la main.
“Bonjour Corinne, je suis Lucie, la femme de Mathieu.” Il ne semblait pas y avoir d’animosité dans son ton, alors Corinne a pris sa main. Lucie a pris la sienne doucement. “Vous voulez un verre ? Mathieu, sois gentil et apporte-nous du Chablis.”
docilement, ce qui n’était pas son genre, Corinne suivit l’étonnante femme dans le salon. Invitante, Lucie tapota le divan et demanda à Corinne de s’asseoir à côté d’elle. Corinne se sentait légèrement mal à l’aise en présence de la femme de son amant, le calme étrange de Lucie à propos de tout l’inquiétait un peu.
Mathieu revint avec leurs boissons et s’assit en face des deux femmes. Lucie fronça les sourcils et Corinne sentit que quelque chose se préparait. Ses papillons grossissaient, puis Lucie s’adressa à son mari.
“Mathieu – Je pense que nous, les deux femmes, avons beaucoup de choses à nous dire. Pourquoi n’irais-tu pas au bar en bas de la rue pour boire quelques verres ? Je pense que nous devrions parler toutes les deux en privé.”
Mathieu voulut dire quelque chose, mais il y avait un regard dans les yeux de Lucie qui semblait lui dire de se taire. Il se leva, mit son manteau et partit. La jeune salope blonde a senti la tension monter.
Corinne se tourne vers Lucie et dit “Je pense que je…” mais Lucie lève la main et lui fait signe d’arrêter.
“C’est bon, ma chère Corinne. Tu n’as pas besoin de t’excuser. Je ne suis pas en colère, pour rien du tout.”
“Tu ne l’es pas ?”
Lucie a secoué la tête, ses yeux dansant toujours. “Non. J’aime mon mari, je comprends pourquoi tu es attirée par lui.” Lucie pouvait certainement voir pourquoi Mathieu adorait Corinne, elle était si exquisément sexy et câline.
“En fait, j’ai dit à Mathieu qu’il n’avait pas à arrêter de te voir.”
Corinne était stupéfaite à ce commentaire, pourquoi Lucie était-elle si gentille ?
Lucie a continué, essayant d’atténuer la nervosité de Corinne. “J’ai rencontré Mathieu quand on était au lycée, on était très jeunes quand on s’est mariés. Je l’aimais alors et je l’aime encore, mais il me manquait quelque chose. Je suppose que Mathieu t’a dit que j’ai aussi eu une liaison ?”
Corinne hocha la tête, le simple fait d’écouter Lucie apaisait ses craintes. “Il m’a dit que tu ne voulais pas non plus lui dire qui était cet homme.”
Lucie a souri, ça illuminait tout son visage. A chaque fois qu’elle regardait Corinne, le coeur de Corinne s’emballait un peu. Comment Mathieu avait-il pu la tromper ? Lucie était d’une beauté saisissante.
“Qui a dit que j’avais une liaison avec un homme ?” dit Lucie, d’un air presque pudique.
Cette petite révélation frappa Corinne comme un éclair. Cette superbe, exquise et belle créature était gay ? Corinne était sur le point de parler, mais à nouveau, Lucie continua son histoire.
“Je suppose que vous savez que je suis photographe de profession ?”
Corinne a hoché la tête, alors Lucie a continué.
“Ces dernières années, je n’ai pas eu autant de travail qu’avant. Maintenant, Corinne chéri, tu ne dois pas parler à Mathieu de ce que je vais te dire. Promis ?”
Sans mot dire, Corinne accepta et Lucie prit sa main en signe de reconnaissance. Une fois de plus, la petite blonde a senti son pouls s’accélérer. Lucie avait la peau la plus douce, la plus lisse qu’elle n’ait jamais sentie !
“Il y a un peu plus d’un an, pour aider à compléter nos revenus, j’ai commencé à faire de la photographie boudoir. Je fais payer beaucoup plus cher, et c’est très lucratif. Malheureusement, ça m’a obligé à travailler plus tard le soir, ce qui m’a éloigné de Mathieu.”
Corinne a mis sa main sur sa bouche. “C’est donc pour ça que tu n’es pas rentrée avec Mathieu, comme ça a commencé pour nous deux.” Elle se sentait un peu coupable de tout ça maintenant.
Lucie sourit à Corinne, montrant une rangée de dents d’un blanc éclatant et parfait. “Oui. Enfin, en partie.”
Lucie a continué son histoire. “Il y a quelque temps, j’ai pris un rendez-vous pour une cliente. Elle s’appelle Aliyah. Elle avait l’air sympa au téléphone, une voix douce et gutturale et une personnalité agréable. Aliyah m’a dit qu’elle voulait de belles photos érotiques d’elle-même comme cadeau pour son amant. Je lui ai dit que je serais plus qu’heureux de l’aider.”
Les yeux de Lucie s’embuent alors qu’elle raconte la suite de l’histoire …..
Aliyah est arrivée à sept heures précises, comme elle l’avait promis. Elle a sonné à la porte du studio de Lucie et a été reçue.
Lorsque Lucie a vu Aliyah pour la première fois, elle a eu le souffle coupé.
Aliyah était – imposante, spectaculaire, sensuelle, voluptueuse – le genre de femme qui commandait l’attention. Lucie se sentait irrésistiblement attirée par la superbe créature qui occupait désormais son studio.
Aliyah était grande, avec une présence magnifique. Elle avait une poitrine généreuse, de longs cheveux noirs de jais et de gros seins naturels. Son chemisier était décolleté, sa jupe épousait ses hanches et ses fesses. Lucie a tout de suite su qu’il s’agissait d’une femme bien dans sa peau.
Lucie a parlé à Aliyah pendant quelques minutes, essayant de la mettre à l’aise pour poser, comme elle le faisait avec beaucoup de ses clients.
“Oh, ne vous inquiétez pas pour moi. Je suis très à l’aise quand je suis nue, j’ai déjà été photographiée auparavant !” dit Aliyah en tendant la main et en serrant celle de Lucie. Lucie a du mal à reprendre son souffle. Cette magnifique créature l’excitait !
“On commence ?” demande Aliyah, d’une voix ronronnante. Lucie hocha la tête et mit Aliyah en place. Elle a installé l’éclairage, Aliyah avait l’air séduisante, chaude, alors que Lucie rétroéclairait sa magnifique silhouette. Elle a commencé à prendre des photos les unes après les autres, Aliyah était de plus en plus belle à chaque fois.
Pour la scène suivante, Lucie a demandé à Aliyah d’enlever sa jupe. Elle a pris un rouleau de film de la brune aux longues jambes en bas, talons et le haut écarlate qu’elle portait. Lucie a un peu chaud, mais elle a l’habitude de garder le studio frais, à cause des plafonniers.
Le haut a suivi et Lucie n’a pu s’empêcher de laisser échapper un souffle. En dessous, la jeune femme sensuelle portait un bustier d’un écarlate profond, qui remontait sous ses seins. Et quels seins c’était. Pleins, ronds, naturels, avec d’énormes mamelons roses. Lucie a souri quand Aliyah a enlevé le string qu’elle portait, qui couvrait une chatte totalement rasée, aux lèvres pulpeuses. Il faut à Lucie tout son sang-froid pour se concentrer sur son travail alors qu’elle prend photo sur photo de cette femme étonnante.
Aliyah est allée se changer et est ressortie dans un bustier argenté, avec des bas noirs et des talons aiguilles. Personne sur terre n’aurait pu lui résister, Lucie le sait alors qu’elle continue à photographier la femme. Elle respirait le sexe par tous les pores.
Finalement, Lucie a terminé. Elle montra à Aliyah quelques épreuves, la femme semblait extrêmement satisfaite du résultat. Elle était proche, si proche, Lucie pouvait voir à quel point ses yeux bleus étaient éblouissants, à quel point son parfum était doux.
“Tu vas bien ?” Aliyah a demandé avec une réelle inquiétude. “Tu sembles un peu troublée.”
“Je vais bien” balbutie Lucie.
Aliyah sourit à la photographe sensuelle. “Est-ce que je te fais cet effet ?”
Lucie acquiesce, frappée de mutisme pendant quelques secondes. “O-oui. Tu es d’une beauté si exquise, je ne peux pas m’en empêcher, je…”
Aliyah fit taire la femme noire exotique avec un baiser complet sur les lèvres. Lucie se sentit attirée par le baiser, il semblait juste et pourtant si interdit. Elle lui rendit son baiser et les deux femmes s’embrassèrent pendant quelques minutes, puis se séparèrent.
“Je suis très flattée que quelqu’un d’aussi beau pense que je suis attirante.”
“V-vous me trouvez belle ?”
“Oh mon cher, ne jouez pas la carte de la fausse modestie avec moi. Vous savez que vous êtes belle, vous êtes photographe. Vous vous êtes déjà photographiée ?”
Timidement, Lucie a admis que oui.
“Des nus ?”
Encore une fois, Lucie a hoché la tête.
“Montrez-les nous.” Ce n’était pas une demande.
Lucie est allée chercher les nus, puis a rejoint la brune sensuelle sur le divan où elle avait photographié Aliyah allongée. Elle a montré tous les nus à Aliyah, la femme était la première à les avoir vus. Même Mathieu ne les avait pas vus. Aliyah s’est extasiée devant chaque photo.
“Tu vois, petite idiote ?” Aliyah a dit, avec un grand sourire. “Tu es magnifique. Toute personne saine d’esprit te trouverait désirable. Je le fais certainement.”
Le second baiser d’Aliyah était certainement plus passionné que le premier. Sa langue a glissé sur les lèvres douces et pulpeuses de Lucie et a exigé qu’elle se rende. Lucie s’est sentie attirée dans une étreinte lesbienne. ….
“Tu as fait l’amour avec elle ?” a demandé Corinne, alors que Lucie racontait son histoire.
Les yeux de Lucie avaient toujours ce regard lointain. “Oh, yesss …. “Elle a soupiré. “Je sais que je ne l’oublierai jamais…”
Aliyah contrôle parfaitement la situation. Elle s’est rapprochée de Lucie, les deux ont continué leur étreinte sur le divan. Aliyah s’est approchée et a touché l’un des seins en soie de Lucie, le frottant à travers son chemisier. Elle pouvait sentir les tétons de Lucie durcir.
“Tu es très réactive. As-tu déjà été avec une femme ?”
Lucie a hoché la tête, timidement. “Une fois. A l’université. Même mon mari ne le sait pas. C’était ma seule aventure, on était déjà mariés à ce moment-là. Et toi ?”
Aliyah a souri. “Presque constamment. Mon amant actuel est une femme. Elle s’appelle Sugar. Ça lui va bien, croyez-moi.” Aliyah gloussa un peu à cela, ce qui semblait légèrement hors de son caractère.
Lucie a ressenti une petite pointe de jalousie, mais Aliyah n’a rien voulu savoir. Sentant les sentiments de la superbe photographe, elle a commencé à l’embrasser dans le cou, derrière les oreilles, passant ses doigts dans les cheveux noirs de Lucie. Ils étaient relevés pour l’instant, mais Aliyah les a défaits et les a laissés tomber en vagues sombres, s’enroulant librement autour du visage exotique de Lucie. Elle pensait que Lucie était exquise, avec un potentiel non réalisé.
“Déshabille-toi pour moi, ma belle”, a-t-elle dit à Lucie, qui s’est sentie rougir. Elle était impatiente de le faire, cependant, et a commencé à se tortiller pour enlever le pantalon de cuir noir serré qu’elle portait. Son chemisier a suivi, elle ne portait plus que ses talons. “Garde-les !” Aliyah lui a dit. Elle a fait un doigt d’honneur à Lucie, qui l’a rejointe sur le divan.
Aliyah embrasse à nouveau Lucie, qui lui rend ses baisers avec plus d’ardeur. Lucie succombe pleinement à la séduction lesbienne, elle est curieuse de voir où cela va aller.
Doucement, Aliyah a repoussé Lucie à plat ventre sur le divan. Elle a été surprise de voir que Lucie ne portait pas de culotte. “Salope” a-t-elle gloussé à nouveau, Lucie l’a rejoint cette fois.
Elle a fait courir ses mains de haut en bas sur les cuisses sombres de Lucie, sentant la chair de poule qu’elle faisait naître sur la peau douce de Lucie. Aliyah n’avait jamais senti une peau aussi douce, elle aurait pu caresser l’autre fille pour toujours, mais elle voulait donner du plaisir à la photographe sexy. Elle s’est approchée de l’objet désiré, la chatte sombre et veloutée de Lucie.
Il a fait signe à Aliyah, “Viens, embrasse-moi, mange-moi”, et Aliyah a commencé à le faire. Elle a placé ses lèvres pleines et douces directement sur la belle chatte et a commencé à la lécher. Elle était lente au début, mais les petits gémissements qu’elle pouvait entendre Lucie faire l’ont encouragée à accélérer le rythme. Bientôt, Aliyah se régalait de la chatte la plus délectable qu’elle ait jamais goûtée.
Le corps entier de Lucie se cambrait vers le haut, avide de léchage. C’était la sensation la plus décadente et la plus incroyable qu’elle ait jamais connue. Mathieu était un amant très généreux, mais Aliyah donnait ET prenait en même temps. Elle savait qu’elle était trempée, mais Aliyah prenait tout et en redemandait. Elle sentait les doigts fins d’Aliyah entrer et sortir de sa chatte, tandis que son pouce caressait le clito de Lucie.
“Tu aimes ça, ma petite salope ? Tu aimes la façon dont je traite ta chatte ?”
D’habitude, Lucie n’aimait pas les mots obscènes pendant le sexe, mais venant d’Aliyah, ça semblait à la fois naturel et juste. Elle a jeté toute prudence au vent.
“Oh oui, salope. Fingerfuck me Aliyah. Baise ma chatte en chaleur. Oh, putain de Dieu, j’aime la façon dont tu baises ma chatte !”
La perte d’inhibition de Lucie a stimulé Aliyah. Elle a fait pivoter son corps, se déplaçant sur le visage séduisant de Lucie. “Je vais chevaucher ton visage, espèce de salope, et tu vas bouffer ma chatte ! Compris ?”
Lucie a hoché la tête en signe d’assentiment. En ce moment, elle ne voulait rien de plus que de satisfaire sa nouvelle amante. Elle a attrapé les larges hanches d’Aliyah et a tiré la femme vers le bas sur son visage, plongeant sa langue dans les profondeurs de la chatte d’Aliyah. La belle brune était très réactive et son jus a commencé à recouvrir la langue de Lucie presque instantanément. Lucie a trouvé sa nouvelle amante douce, avec une saveur enivrante. Elle en voulait plus et a commencé à festoyer sur Aliyah avec toute sa passion.
Aliyah était loin d’être désœuvrée elle-même. Elle a continué à lécher et à tamponner la chatte serrée sous elle, la baisant avec ses doigts. Elle pouvait sentir chaque palpitation, chaque pulsation, de la chatte excitée de Lucie. Lucie était une vraie lesbienne dans l’âme, Aliyah le savait. Elle aimait la sensation d’une femme dans ses bras, se régalant de sa chatte.
Aliyah n’avait jamais été avec une femme qui bougeait comme ça pendant l’amour. Elle se frottait et se tortillait sur tout le corps d’Aliyah, c’était comme si elle mettait tout son corps dans les caresses. Il y avait une sensualité débridée chez Lucie que la voluptueuse brune trouvait très attirante, elle en voulait plus.
L’esprit de Lucie était inondé de nouvelles sensations. Elle avait apprécié son petit essai lesbien à l’université – y mettant fin uniquement par culpabilité envers Mathieu – mais ce n’était rien comparé aux sentiments sauvages qu’elle ressentait en étant manipulée par Aliyah. Alors que les doigts s’enfonçaient de plus en plus profondément dans sa chatte, que sa propre langue passait sur la chatte d’Aliyah, elle ne voulait pas que cela se termine, jamais !
Aliyah s’est éloignée d’elle, Lucie a laissé échapper un petit gémissement déçu. Aliyah s’est penchée vers elle et l’a embrassée sur ses lèvres tachées de sperme. “Accroche-toi bébé, la meilleure partie c’est de jouir !”
Elle est allée dans son sac à main et en a sorti un gros gode charnu, qu’elle a attaché à son magnifique corps. Elle est revenue et l’a montré à Lucie, qui a été momentanément choquée.
Mais seulement momentanément. De manière lubrique, la jolie photographe s’est allongée sur le divan et a écarté les jambes en signe d’invitation. “Viens et baise-moi, bébé !” a-t-elle lancé à Aliyah.
Aliyah n’en revenait pas de voir à quel point Lucie était douée pour ce genre de jeux. Elle s’est mise entre les jambes de Lucie et a enfoncé le monstrueux gode dans la chatte de la femme.
“Oh Christ, ouais, putain, c’est bon, baise-moi, baise-moi, oh Dieu, Baise-moi jusqu’à ce que je meure !” Lucie a hurlé quand la monstrueuse bite en caoutchouc l’a pénétrée. Elle n’arrivait pas à croire ses propres mots, mais c’était bon, trop bon pour s’arrêter.
Encouragée encore plus par la réactivité de Lucie, Aliyah a fait exactement ça. Elle a forcé la jolie femme avec toute l’habileté d’une lesbienne expérimentée et a senti son propre orgasme approcher. La femme en dessous d’elle était elle-même proche de l’orgasme, une fois que Lucie serait venue, Aliyah savait que cela la ferait basculer.
C’était dans quelques minutes. “Oh mon Dieu, YESSSSSS ! !!” Lucie a crié, alors que son orgasme prenait le contrôle de son corps. Le regard sur le beau visage de Lucie a, en fait, fait basculer Aliyah. Elle se cale contre Lucie, les deux ont encore quelques mini-climax jusqu’à ce qu’elles s’écroulent d’épuisement.
Corinne était assise là, les yeux écarquillés par la confession de Lucie. “Et tu la vois toujours ?”
Lucie a hoché la tête, posant sa main sur le genou nu de la fille. “Mmm-hmm. Au moins une fois par semaine. J’ai même fait un plan à trois avec elle et son autre amant, Sugar.”
C’était beaucoup à encaisser pour Corinne. Cette femme étonnante n’avait pas l’air d’une lesbienne. Bien sûr, c’était stupide. A quoi ressemblait une lesbienne, de toute façon ? Certaines de ses copines étaient bi – ou même Lez, Corinne le soupçonnait – et elles étaient jolies.
“Et Mathieu ?”
Lucie a laissé échapper un léger soupir. “Corinne chéri, j’aime mon mari. C’est un homme merveilleux, on s’apprécie mutuellement. Il est gentil et doux au lit, mais il ne répond pas à tous mes besoins. Je préfère les femmes, je le sais maintenant. Et Mathieu n’est pas pervers, pour une autre raison.”
Corinne grimaça. Si seulement Lucie le savait.
“C’est pour ça que je ne me suis pas opposé à sa petite aventure. Je ne veux pas que tu arrêtes de le voir. Est-ce que tu l’aimes ?”
Les yeux de Corinne sont devenus humides. “Oui. Mais je pense qu’il t’aime encore plus.”
Lucie a pris la main de la fille. “Eh bien, j’ai peut-être une solution. Tu veux bien m’écouter ?”
Corinne a hoché la tête, puis c’est arrivé. Lucie s’est penchée en avant, a pris le doux visage de la jeune fille dans sa main et l’a embrassée, à pleine bouche. Ca a fait sursauter Corinne, mais seulement pendant un bref instant. “Qu… ?” elle a réussi à dire.
Lucie afficha à nouveau ce sourire éblouissant, Corinne se sentit presque enivrée. “Pour la deuxième fois seulement dans ma vie, je me retrouve à vouloir vraiment être avec une femme. Cette femme, c’est toi, mon cher Corinne. Serais-tu prête à me laisser te faire l’amour, à te montrer les plaisirs d’une autre femme ?”
Corinne a dit “Mais, Mathieu – ”
” – ne sera pas à la maison avant un moment, si je connais mon mari. S’il te plaît Corinne, je veux être avec toi, pour te prouver combien mon type d’amour peut être merveilleux. Je peux ?
“Oui”, répondit Corinne avec un tremblement dans la voix.
Lucie prit la douce jeune femme blonde par la main et la conduisit à l’étage dans la chambre principale. Comme Lucie elle-même, la pièce était sensuelle, un prélude au plaisir. La jeune salope blonde se tenait là, les jambes en gelée, incertaine de ce qu’elle devait faire ensuite.
Lucie a brisé la tension. “S’il te plaît, chéri, ne sois pas nerveux. Détends-toi. Je ne te ferai rien que tu ne veuilles ou n’apprécies pas. Veux-tu te déshabiller ?”
Corinne secoua la tête, nerveusement. Lucie sourit.
“Tu veux que ce soit MOI qui te déshabille ?” Corinne a hoché la tête.
Ca fait plaisir à Lucie. Elle avait envie de voir cette jolie fille nue depuis qu’elle avait franchi la porte. Ce que son mari voyait en Corinne était évident, maintenant c’était à son tour de contempler tous les charmes de la fille. Elle tapota le lit et fit signe à Corinne de venir s’asseoir à côté d’elle.
Lucie se tendit et déposa un doux baiser sur la joue de Corinne. Elle a commencé à déboutonner le pull rose de la jolie blonde, ravie de ce qu’elle trouvait en dessous. “Délectable” était le mot parfait pour Corinne, elle portait un soutien-gorge rose transparent et en dentelle. Ses mamelons sombres et sexy dépassaient déjà, Lucie a passé sa main doucement sur les seins de la fille. Entendant un léger souffle venant de Corinne, elle a continué à déshabiller l’étudiante sexy.
Lucie a dit “Lève ton popotin chérie” et Corinne a obtempéré, permettant à Lucie d’enlever sa petite jupe blanche. Lucie avait vu juste, la fille portait un string rose assorti à son soutien-gorge.
“Tu es si adorable” a dit Lucie, en embrassant le téton gauche de Corinne à travers le soutien-gorge.
“Je suis adorable ?” Corinne a dit, en rougissant légèrement. “Lucie, tu es la plus belle femme que j’aie jamais vue.”
Lucie a souri. “Bon, on est toutes les deux belles. Ca devrait rendre cette soirée encore plus magique.”
Rassemblant un peu de l’audace qui l’avait fait aimer de Mathieu, Corinne sourit “Ok, si je suis nue, tu ne devrais pas l’être aussi ?”.
Lucie acquiesça et se leva du lit. Elle prit les sangles de la gaine en satin et les abaissa, puis fit un petit shimmy et la gaine tomba sur le sol. Elle se tenait devant la fille dans de la lingerie de luxe en dentelle. Elle complimentait tout chez Lucie, son teint, ses jambes fines et son apparence exotique. De couleur crème, elle ajoute à l’attrait de Lucie dans tous les sens du terme.
“Magnifique. Juste magnifique.” Corinne a murmuré.
Lucie est revenue et s’est assise à côté d’elle sur le lit. Elle a pris les mains de Corinne dans les siennes et les a serrées doucement. “Laisse-moi te montrer quel merveilleux moment deux femmes peuvent passer, d’accord ? Tu me fais confiance ?”
Corinne se pencha vers le visage de Lucie et l’embrassa, effleurant ses propres lèvres pleines contre celles de l’autre femme. Elle s’est éloignée de Lucie et a dit “Je pense que ça devrait répondre à ta question, chérie.”
Toujours dans le string et le soutien-gorge roses, Corinne s’est déplacée vers le haut du lit. Elle avait gardé ses talons, elle avait toujours pensé que c’était sexy de porter ses chaussures quand elle baisait. A en juger par les douces caresses de Lucie sur ses pieds et ses cuisses, Lucie semblait penser la même chose. La jeune salope blonde avait de jolis pieds, ses jambes étaient joliment formées et les talons accentuaient toujours ce look.
Lucie a enlevé le soutien-gorge de Corinne, laissant libre cours à ses seins naturels et ronds. “Miam !” Lucie a dit, embrassant chacun d’eux, les caressant, les pesant dans ses mains. Seule Aliyah l’avait excitée à ce point, il y avait quelque chose de très sexy chez Corinne. Elle semblait inviter à l’espièglerie, alors Lucie embrassa le ventre plat de la fille, vers sa chatte couverte d’un string. Elle pouvait voir Corinne frissonner de plaisir à chaque baiser et léchage. Elle a fait tournoyer sa langue autour du nombril percé de Corinne, pensant que ça aussi, c’était extrêmement sexy. C’est alors qu’elle a vu le petit tatouage de papillon de Corinne, elle a réalisé à quel point Corinne adorait son mari. Ça a donné à Lucie l’espoir que son plan pour eux tous allait réussir.
Corinne n’avait jamais ressenti ça, elle était certaine que sa chatte était trempée, elle était tellement excitée. Son esprit n’était même pas sur Mathieu, il était sur sa femme sensuelle, rendant un hommage consciencieux à sa chatte excitée. Elle a senti les doigts de Lucie écarter sa culotte et quand la langue de Lucie a tamponné sa chatte, Corinne est devenue folle de plaisir.
Mathieu mangeait bien la chatte, mais Lucie était une artiste. Elle a plaqué sa langue contre la chatte de Corinne, elle a frotté le clito jusqu’à ce qu’il palpite de désir. Chaque centimètre des parties basses de Corinne était chaud de désir.
Lucie avait bien appris ses leçons d’art lesbien, elle les transmettait maintenant à Corinne. Elle a poignardé la douce chatte de la fille, l’aimant avec la même ardeur qu’elle donnait à Aliyah. Scrumptious, c’était le mot pour la jeune fille.
Corinne essayait de rester immobile, mais c’était une bataille perdue d’avance. Le léchage de Lucie était bon, oh si bon, et elle se tordait sous l’attaque érotique de la beauté. Son corps s’est voûté et arqué, et a aspiré à plus d’amour de la part de Lucie.
Corinne haletait maintenant, la poitrine soulevée, le souffle court. Elle n’avait jamais imaginé qu’une autre femme puisse la faire se sentir aussi bien, mais Lucie mettait tout en oeuvre pour le plaisir de Corinne. Tout d’un coup, Corinne s’est sentie égoïste.
“Lucie ? S’il te plait chérie, arrête.”
Lucie s’est levée d’entre les cuisses lisses de Corinne. “Pourquoi bébé, tu ne t’amuses pas ?” dit-elle, un regard déçu traversant ses beaux traits.
“Oh mon dieu non, je n’ai jamais ressenti ça – jamais !” Corinne rayonne. “J’aimerais aussi te donner du plaisir, si tu me le permets.”
Lucie était aux anges en entendant ça. “Tu veux que je te montre ?”
docilement, Corinne a dit “oui, s’il te plaît”.
Lucie a demandé à la jeune femme de changer de place avec elle. Lucie a retiré sa lingerie, puis elle s’est allongée à la tête du lit et a écarté ses longues jambes. “Embrasse ma chatte, bébé, comme si c’était une bouche. Lèche-la avec ta langue, sois douce, tu ne peux pas faire quelque chose que je n’aimerai pas.”
Corinne était impatiente de faire plaisir à son nouvel amant. La jeune blonde a hésité, mais seulement pendant de brèves secondes. Elle a timidement tendu la langue et a léché la chatte de Lucie plusieurs fois. C’était presque doux au goût. Corinne a de nouveau tiré la langue, c’était presque comme un choc électrique. La jeune salope blonde s’est mise au travail avec enthousiasme, elle a commencé à manger la chatte de Lucie avec sérieux. Une fois que Corinne avait cédé à ses pulsions lesbiennes, elle savait qu’elle ne pourrait plus se passer d’une maîtresse dans sa vie – elle espérait de tout son coeur que Lucie serait l’une d’entre elles.
Lucie regarde la jolie tête blonde entre ses cuisses avec la plus grande affection. La fille est si gentille et si désireuse de faire plaisir. Elle semblait gagner en compétence à chaque passage de sa langue sur la chatte de Lucie.
Lucie a laissé échapper un glapissement de pure joie, ce qui a rendu Corinne extatiquement heureuse. Elle est sortie d’entre les cuisses de Lucie, le visage brillant des dépenses de Lucie. “Et ensuite, coach ?” a-t-elle demandé en souriant.
“Je suppose que vous savez ce qu’est le soixante-neuf ?” Corinne a hoché la tête. “Bien, bébé. Pourquoi toi et moi ne nous ferions pas plaisir en même temps, j’ai hâte de te goûter à nouveau.”
Malgré leur différence de taille, un soixante-neuf fut facilement accompli entre les deux nouveaux amants. Avoir Lucie qui lui répondait alors qu’elle tremblait sous les caresses de Lucie était encore mieux. Lucie était peut-être l’amant le plus sensuel qu’elle ait jamais connu.
Mais qu’avait dit Lucie ? Elle voulait que Mathieu soit plus pervers ? Une inspiration divine est venue à Corinne. Elle bougea d’entre les cuisses soyeuses de Lucie et parla.
“Lucie ? Tu as des jouets sexuels ?”
“Quelques-uns, bébé, pourquoi ? Tu veux que je les utilise sur toi ?”
“Non chérie, je veux les utiliser sur TOI.”
Lucie a souri, ça se passait encore mieux qu’elle n’aurait pu le rêver. Elle s’est précipitée hors du lit, Corinne a regardé sa peau scintiller sous la lumière. Elle était tellement flattée que la belle femme l’ait choisie comme amante, il n’y avait aucune chance qu’elle soit proche de l’état d’élégance et de beauté de Lucie, pourtant avec Lucie, elle se sentait sexy et hautement désirable.
Lucie est revenue dans la chambre, quelques jouets à la main. Corinne a vu exactement ce qu’elle espérait, tout de suite. Elle a pris un vibromasseur argenté et brillant des mains de Lucie et l’a allumé. Un léger bourdonnement a rempli la pièce quand Lucie s’est remise sur le lit.
Corinne a décidé qu’il était temps d’augmenter le facteur de perversion. “Ok salope, t’es prête à te faire baiser, mais bien, ta chatte chaude ?” grogna-t-elle.
Cette nouvelle facette de Corinne a énormément excité Lucie. “Oui, petite salope, baise-moi avec ce jouet. Mange ma chatte et baise-moi avec ce vibromasseur, fais-moi jouir, petite salope !”
Corinne a passé le vibromasseur sur la peau noire et les tétons de Lucie avant de l’insérer dans la chatte fumante de Lucie. Lucie a poussé un hurlement de luxure alors que le vibromasseur et les doigts de Corinne excitaient ses sens.
“Tu aimes ça, n’est-ce pas, magnifique salope ?” Corinne a sifflé, voyant que ses propos obscènes excitaient Lucie. “Tu aimes que ta chatte excitée soit baisée avec ce jouet sexy, hein bébé ?”
“Bon sang, OUI ! !!” Lucie a hurlé, alors qu’un orgasme l’envahissait. La jeune salope blonde était incroyablement heureuse d’avoir fait jouir son amante, sa première fois avec une autre femme. Lucie était toujours en train de se tortiller et de bouger quand Corinne prit un de ses tétons noirs dans sa bouche et le suça doucement.
“Comment t’as su ?” Lucie a demandé. “Comment tu sais que c’est le genre d’amour dont j’ai envie ?”
Corinne a attrapé un magnifique sein et a mordillé le téton, doucement. “Tu m’as mis au courant. Tes signaux étaient si évidents pour un petit kinkmeister comme moi.” Corinne a laissé échapper un petit rire.
Lucie a passé ses mains sur la peau douce de Corinne. Elle était de la couleur du babeurre et si douce au toucher. “Kinkmeister, hein ?” Corinne gloussa encore et hocha la tête.
“Ok, Miss Kinky, alors de quoi avez-vous envie ?” demanda Lucie avec beaucoup de curiosité.
“W-ellll – ” dit Corinne, avec une certaine hésitation ” – ne vous méprenez pas, votre mari est un amant très pervers, sauvage et inventif -”
Lucie a cligné des yeux à ce sujet. “MON mari ?”
Corinne a hoché la tête. “Vous avez besoin de parler davantage tous les deux. Oui, Mathieu est incroyable, mais il peut être un peu trop sauvage parfois. J’ai toujours voulu que notre sexe soit lent, sensuel, séduisant parfois. Une fille aime un peu de romance.”
Lucie a été étonnée par les mots de Corinne, mais elle les a pris au sérieux. “Lent et sensuel, hein, mon coeur ? C’est ce que je peux faire.”
Lucie a pris Corinne dans ses bras et a embrassé la fille, lentement. Elle a laissé ses lèvres et ses mains faire tout le travail. Elle a joué du corps de Corinne comme d’un instrument fin, laissant les petits soupirs et ronronnements de plaisir de Corinne lui faire savoir si elle faisait bien les choses.
Corinne est restée allongée et s’est délectée des doux contacts de Lucie. Elle se sentait de plus en plus excitée de minute en minute, ses tétons étaient de nouveau raides et sa chatte était trempée. Le bout des doigts et les ongles de Lucie ne faisaient qu’effleurer le corps de Corinne, mais elle ne pouvait pas résister à l’envie de couiner de plaisir. Ce petit signal a permis à Lucie de savoir qu’elle faisait exactement ce qu’il fallait pour exciter sa nouvelle compagne de jeu.
Lucie a embrassé le corps de Corinne, son toucher était doux comme une plume. Elle caressait partout les formes câlines de Corinne, voulant torturer la fille dans un style des plus exquis. Elle pouvait voir la petite lueur de transpiration sur le corps de Corinne, dans la lumière tamisée de la pièce, c’était assez séduisant.
“Oooh, c’est ça, oui Lucie chérie, c’est ce que je voulais !” Corinne roucoule. Elle voulait toucher Lucie de la même manière qu’elle était touchée, mais elle savait que Lucie avait l’intention de lui donner du plaisir, alors Corinne s’est détendue et s’est laissée emporter par les sensations. Lucie embrassait ses cuisses de haut en bas maintenant, de petits picotements électriques parcouraient le corps de Corinne. Cette fois, Lucie a embrassé sa chatte lentement, elle a pris le temps d’adorer le délicieux morceau rose. Elle a léché lentement, elle a grignoté un peu, elle a rendu un hommage consciencieux à la jeune et douce chatte de Corinne. Elle a été récompensée par l’écoulement de jus sucrés provenant de l’adorable chatte de Corinne, elle ne voulait pas que la fille s’arrête de jouir.
Corinne ne pensait pas qu’elle arrêterait un jour son orgasme intense. Elle a cambré son corps vers le haut, avide de la langue léchée de Lucie. Des vagues de plaisir se succédaient dans tout son être, elle était presque incohérente, bafouillant tandis que sa partenaire sensuelle l’amenait à de nouveaux sommets de félicité.
Lucie n’allait pas s’arrêter, pas encore. Elle voulait que Corinne ait un orgasme dont elle se souviendrait pour le reste de ses jours. Elle a ovalisé sa langue et l’a glissée profondément dans les recoins de la chatte dégoulinante de Corinne. Et c’est tout. Ce geste a fait basculer Corinne, elle a crié plus fort que jamais et a joui, en se débattant et en gémissant. Lucie a senti qu’elle avait une petite éjaculation, heureuse d’avoir satisfait cette douce jeune chose qu’elle adorait maintenant.
Haletante, les yeux pas vraiment concentrés, Corinne a regardé pour voir Lucie lui sourire. Elle s’est approchée, a attiré le beau visage de Lucie vers le sien, et Corinne l’a embrassée. Fort, avec passion, aimant cette belle femme qui lui avait apporté une joie et un plaisir si intense.
“C’est mon tour maintenant ?” a-t-elle demandé à Lucie, avec impatience.
Lucie a regardé le radio-réveil sur la table de nuit. Elle soupire. “J’ai bien peur que non, bébé, Mathieu va bientôt rentrer.” Elle a vu le visage de Corinne faire une moue, même ça c’était adorable. “Oh, ne t’inquiète pas bébé, on refera ça, si tu veux.”
Corinne l’a regardé en simulant un choc. “Si je veux… ?”
Lucie rit et serra Corinne dans ses bras. “Eh bien, j’ai un plan, mais bébé, on va devoir parler et s’habiller rapidement. Le plan est…”
Mathieu rentre chez lui et trouve sa femme et sa maîtresse exactement là où il les avait laissées, en train de boire du vin et de discuter. Il était quelque peu perplexe, il ne semblait pas y avoir de colère ou d’animosité. Au contraire, elles semblaient apprécier la compagnie de l’autre. Il a accroché son manteau et est allé vers Lucie, l’embrassant et indiquant Corinne.
“Alors, vous avez discuté de tout ça ?” demande Mathieu.
Lucie acquiesce, tout comme Corinne. “On en a parlé. Mathieu, comment as-tu pu ne serait-ce que penser à ne plus voir cette charmante créature ? Je ne veux pas en entendre parler !”
Mathieu cligna des yeux, pas sûr d’avoir bien entendu sa femme. “Redis-moi ça ?”
Lucie prit la main de son mari, puis celle de Corinne. “Mathieu, Corinne et moi sommes arrivés à un accord. Tu vas continuer à voir Corinne, les lundis et mercredis.”
Mathieu n’était pas sûr de ce qu’il devait en penser, alors Lucie a continué.
“Je la verrai les mardis et jeudis.”
Le visage de Mathieu enregistra son choc, mais il essaya de garder un visage stoïque. “Et les vendredis ?”
Corinne glousse. “Eh bien, chéri, je suis toujours une étudiante. Je dois étudier de temps en temps.”
Lucie rit, puis Mathieu posa sa prochaine question.
“Et le samedi ?”
Lucie et Corinne sourirent tous les deux et prirent sa main. “Je pense que le lit du haut est assez grand pour trois personnes, non ?” Mathieu acquiesce, ne croyant toujours pas à tout ça.
Corinne sourit. “Et le dimanche, je me repose.”
Lucie se dit : “Je ne sais pas trop, mon cher Corinne. Je pense qu’Aliyah et toi seriez magnifiques dans un soixante-neuf.”